Je peins la lumière à l’encre ferrogallique, avec la recette des moines copistes avec les gales de chêne des forêts alentour. L’encre indélébile s’oxyde et les lavis prennent une teinte naturelle dans les bruns et sépias, parfois dorés comme une photographie ancienne.
Gales de chêne qui rentrent dans la composition de l'encre ferrogallique.